édition Michel Laffon poche - 286 pages.
Mon résumé :
Poppy vit en Californie, entre son frère jumeau, sa mère et son très raisonnable beau-père. Le premier jour des vacances, elle découvre qu'elle est atteinte d'un cancer incurable. James, son meilleur ami, lui dévoile alors son grand secret : il est un vampire et s'apprête à enfreindre les règles du Night World pour la sauver.
Mon avis :
J'ai lu ce livre au cours du STAR et je me réjouis d'en rédiger la critique - il est tellement facile de chroniquer un livre aussi insipide. Je ne sais toutefois pas ce que je dois pointer du doigt en premier, la vacuité de l'héroïne, l'insipidité de l'intrigue ou la niaiserie du monde parallèle ainsi créé. Ma réaction est vive, certes, mais si je trouve le début de l'intrigue presque cohérent (les examens et le diagnostique), elle bascule très vite dans le grand n'importe quoi, et pas seulement parce qu'un beau vampire vient sauver sa belle.
Nous retrouvons vampires, sorciers, allégés de telle manière qu'Edward Cullen en devient charismatique. Bien que les deux personnages principaux, Poppy et James, vivent des situtations tragiques, il m'a été impossible de ressentir la moindre émotion pour eux, non plus que pour la mère de cette chère Poppy, toute aussi brillante et émouvante que sa fille, une Barbie nourrie aux corn flakes. Même les méchants ne le sont pas complètement - dommage, cela aurait donné un peu de piments à cette naissance d'un vampire sans saveur.