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18 janvier 2012 3 18 /01 /janvier /2012 08:35

James.jpgédition 10/18 - 224 pages

 

Quatrième de couverture :

 

Une femme, Kate Fanster, universitaire professeur de littérature, se retrouve mêlée à une énigme littéraire : la découverte d'une nouvelle que James Joyce aurait écrite pour "Gens de Dublin" et jamais publiée. Un meurtre est commis. Quel plaisir pour Kate, dont la passion secrète est d'être détective. C'est elle qui va mener l'enquête.

 

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Challenge Romans sous influence organisé par moi-même et George.

Mon avis :

 

Je me demande si une personne qui n'a pas lu Gens de Dublin aimerait ce roman, tant il est question de cette oeuvre et surtout de la dernière nouvelle du recueil Les morts et de son interprétation. Autant dire que James Joyce est vraiment au coeur de cette intrigue. Son oeuvre est analysée, parfois péremptoirement (comme si une seule interprétation était possible) et cette connaissance commune est le lien ente les différents personnages au début du roman. Fort heureusement, j'avais lu cette oeuvre, suffisamment marquante pour que je m'en souvienne encore des années après.

 

Je tiens aussi à signaler une petite déception :  je m'attendais aussi à trouver Kate dans son université new-yorkaise. Rien de tel. Elle est à la campagne, dans le Masachussetts, dans une atmosphère champêtre qui évoque plus Tamara Drewe que les campus américains, à classer les papiers d'un ami universitaire décédé, dont sa correspondance avec un certain James Joyce. Et si un inédit de l'auteur apparaissait ? Ce serait une découverte littéraire de premier plan, qui offrirait peut-être un nouvel éclairage sur l'oeuvre phare de Joyce, Ulysse.

 


Pourtant, en dehors de la question littéraire, se pose encore et toujours avec Amanda Cross la question de la condition féminine, avec toutes ces femmes que nous rencontrons dans le roman. Devrai-je dire plutôt ces jeunes filles ? Les filles de l'universitaire décédé ont un destin hors norme. L'aînée est morte très jeune d'un cancer. Elle reste l'aînée, donc, sa mort prématurée lui ayant donné à vie cette seule identité. La cadette Virginia est devenue religieuse. Pour quelles raisons ? Nous ne le saurons pas, si ce n'est que son père a ressenti cette décision comme une trahison. Lina, jeune professeur d'université, éperduement amoureuse d'Emmet, vit sa virginité comme un fardeau (elle a presque trente ans). Grace Knolls est une vieille fille, une bas-bleue dirait-on. Professeur à la retraite, elle n'entend ni se faire dicter sa loi, ni se faire marcher sur les pieds. Comme toutes les femmes de sa génération qui souhaitait travailler, elle a dû choisir, faisant une croix sur le mariage et les enfants. Kate n'a plus l'âge de se poser des questions, et la demande en mariage de Reed, qui n'aime guère les enfants, arrive à point nommé dans ce coin du Massachussetts où l'on jase.

 

Que fait une jeune femme avec deux très jeunes hommes et un enfant qu'elle dit être son neveu ? La citadine qu'elle est découvre les moeurs de la campagne et perd non son innocence (qualifier Kate Fensler ainsi relèverait de la naïveté) mais les clichés qui l'emcombraient. Elle qui s'accommode si bien de l'homosexualité de ses collègues et de ses étudiants ne se voile pas la face quant à la pédophilie. J'ai juste eu l'impression qu'elle ne voyait pas en quoi il fallait fustiger un tel comportement, il faut juste veiller à l'empêcher, en éloignant certains messieurs. De même, elle autorise son neveu Léo à s'entraîner à viser à la carabine (désarchargée) de peur de passer pour une tante castratrice. La psychanalise est passée par là, et les femmes (dont Kate) ne savent plus comment se comporter, même face à un enfant dont le mal-être est causé parce qu'il est un enfant du milieu (dixit toujours les psys). Pour comble de bonheur, Léo ne trouve rien de mieux que de viser (sans balle, vous dis-je) la voisine, une fermière - même si ce n'est pas dit implicitement, je me demande si le fait qu'elle ne soit pas "du même monde" n'autorise pas ce comportement.

 

Toutes mes interprétations nous feraient presque oublier qu'elle a fini par mourir (accidentellement) et même si elle n'est pas extrêmement sympathique, elle est morte - voilà de quoi traumatiser à vie ce pauvre Léo qui, pour une fois, ne tenait pas la carabine en main. Reste à savoir qui l'a réellement tuée, c'est à dire qui a chargé la carabine (et les suspects ne manquent pas) et surtout pourquoi (mauvaise nouvelle : les mobiles non plus ne manquent pas). Kate souhaite trouver le coupable avant tout pour disculper les innocents - les rumeurs vont si vite à la campagne. Alors, oui, j'ai envie de vous dire qu'elle y parviendra - il est rare de lire des romans policiers où le meurte reste non élucidé. J'ai juste envie de ne pas vous dire comment elle le retrouvera ni quel est son identité - elle peut néanmoins remercier James Joyce pour son aide précieuse.

 

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P
PIERROT LA LUNE, PIERRE ROCHETTE,<br /> <br /> VAGABOND CELESTE, REVEUR EQUITABLE,<br /> <br /> ERMITE DES ROUTES<br /> <br /> 2EME EXTRAIT<br /> MONSIEUR 2.7K<br /> http://WWW.REVEURSEQUITABLES.COM<br /> PRESSE<br /> MONSIEUR 2.7K<br /> www.enracontantpierrot.blogspot.com<br /> sur google,<br /> Simon Gauthier conteur vagabond céleste<br /> <br /> <br /> Voici l’histoire de Monsieur K… , prisonnier numérique K…ui s’évade d’Internet après avoir<br /> franchi 1000 pages dématérialisées de débrits de bitts… Son rêve, marcher la fraîcheur<br /> existentielle de la beauté du monde sans le boulet de l’information enchaîné à l’un de ses pieds,<br /> enfin libéré de 1000 pages de placenta ayant permis l’accouchement d’un vagabond céleste.<br /> MONSIEUR<br /> 2.7K<br /> CERVEAU THÉÂTRE<br /> Déjeunercauserie<br /> avec<br /> L’AUTEURCONTEUR<br /> CHER MONSIEUR…<br /> Votre manière d’écrire est si déroutante »K »…u’on n’arrive pas à la classer. En ce »K »…ui<br /> me concerne, j’avoue être incapable d’imaginer »K »…uels lecteurs pourraient lire ce récit d’un<br /> bout à l’autre.<br /> CHER EDITEUR…<br /> N’est pas Francisco de Robles qui veut. Ce ne sera pas la première fois, dans l’histoire de<br /> l’art, »K »…u’un éditeur se rend immortel grâce à son incompétence littéraire. Je vous rendrai donc<br /> immortel, comme le fit Proust pour Gide et même un peu plus. Pardonnez ma générosité…. Mon<br /> cerveauthéâtre<br /> de 1000 pages »K »…ommencera »donc » et se terminera »donc » par votre lettre.<br /> »Il n’est de vraie littérature »K »…ue produite non par des fonctionnaires bien pensants et zélés,<br /> mais par des fous, des ermites, des hérétiques, des rêveurs des rebelles et des sceptiques »…<br /> Zamzatin…vous connaissez cet écrivain monsieur l’éditeur?J)))))))) ***(paquet de bits)…***<br /> Pierrotlalune<br /> J))) directeur artistique des mots<br /> <br /> LES SEMEURS DE FOLIES<br /> Il y avait trois semeurs de folies dans notre ville : Un gardien de parc, un gardien de<br /> sécurité et un gardien de la foi. Grâce à chacun d’eux, il arrivait des choses incroyables »K »…ue<br /> personne n’aurait osé raconter, surtout pas dans un roman. Non seulement la population les<br /> respectait, mais elle avait appris à les aimer parce »K »…u’ils leur redonnaient un »K »…oeur<br /> d’enfant. Et le simple fait de rêver de nouveau à devenir grand retardait à l’infini l’apparition de<br /> l’idée »K »…u’on n’aurait peutêtre<br /> pas le choix de mourir un jour.<br /> Le frère de Madame Riendeau dormait toutes les nuits de l’été sur un banc de parc. Toute<br /> la journée, il obligeait les gens à garder silence pour ne pas faire fuir les oiseaux. Et la nuit, il<br /> s’entourait de milliers de miettes de pain pour les faire répéter afin que leurs chants<br /> s’harmonisent selon la musique qu’il avait composée pour eux. Au lieu de leur parler, il sifflait<br /> ‘K »…omme chacun d’eux. Des jeunes gens, »K »…u’il avait jadis obligés à se taire, se mirent à<br /> siffler comme lui. Et l’un d’entre eux, grâce à lui, remporta un jour un championnat à titre de<br /> meilleur imitateur de chants d’oiseaux.<br /> Le frère de Madame Lavigne, lui, passait ses journées à attendre le train pour l’arrêter<br /> dans sa »K »…ourse. Il se plaçait simplement devant, sans bouger d’un pouce, la main levée. Et le<br /> »K »…onducteur affolé réussissait à freiner son engin, s’immobilisant parfois à quelques pieds<br /> seulement de l’immobile intrus. Alors celuici,<br /> sans s’occuper des insultes de »K »…ui que ce soit,<br /> faisait signe aux enfants de traverser puisqu’il n’y avait aucun danger. La police avait beau le<br /> surveiller, l’arrêter, le reconduire, il revenait de nuit pour être certain d’être à son poste au lever<br /> du jour. Il balayait la voie et huilait les rails, tentant d’enlever à »K »…oups de marteau les<br /> imperfections »K »…ui auraient pu causer un déraillement dangereux pour la »K »…ommunauté.<br /> Lorsque la gare passa au feu à l’autre bout de la ville, on jugea bon de la déplacer dans un endroit<br /> plus achalandé. On la reconstruisit juste là où il exerçait son métier… Ce »K »…ui permit au frère<br /> de Madame Lavigne de prendre sa retraite puisqu’il avait enfin réalisé le rêve de sa vie, devenir<br /> chef de gare.<br /> Je ne savais pas »K »…ue mon oncle Hannibal était le troisième. Je l’appris tout à fait par<br /> hasard. Je sais aujourd’hui »K »…ue le gardien de parc et le gardien de sécurité le tenaient depuis<br /> longtemps en très haute estime parce que c’est en passant du temps avec eux à les regarder vivre<br /> poétiquement »K »…u’il lui prit l’idée de devenir aussi semeur de folies, soit gardien dans un<br /> domaine où il pourrait innover tout en les imitant, c’estàdire,<br /> gardien de la foi. Parce »K »…ue<br /> les avancements de »K »…arrière étaient rares pour les laïcs dans la religion de Monsieur le<br /> »K »K »K »…uré, il en rejoignit une toute nouvelle qui venait juste de planter pignon sur rue. Et<br /> »K »…omme il savait que je pratiquais du bout des doigts, il vint me recruter »K »…omme fidèle<br /> de façon à ce que je puisse voter pour lui à ses élections.<br /> Je n’étais pas le genre à fréquenter mon oncle, »K »…ar j’avais peur de passer pour snob,<br /> ayant la mauvaise habitude de pousser trop loin mon rapport célébral à l’autre, avec pour<br /> »K »…onséquence de rendre cet autre trop »K »…onscient de ses limites et ainsi le faire souffrir<br /> inutilement.<br /> Mon oncle, vous vous présentez à quel titre,<br /> Si ce n’est pas trop indiscret de vous le demander ?<br /> 411<br /> Pape.<br /> Je dois avouer »K »…ue le choc fut immensément grand. Non pas que j’aie quelque chose<br /> »K »K »K » »…ontre la papauté mais j’en avais acquis une »K »…onnaissance historique suffisante<br /> pour réaliser qu’il avait de bonnes chances de devenir le seul pape provoquant un rire au niveau<br /> international. Et »K »…omme j’aimais mon oncle, je ne savais pas trop »K »…omment lui dire,<br /> tout au plus lui conseiller, de rester discret, le temps qu’il »K »…onsolide sa réputation par un<br /> usage modéré du poste, la »K »…ompétition à ce niveau étant d’autant plus cruelle qu’on tardait<br /> »K »…ruellement à mourir pour donner une chance au remplaçant.<br /> »K »…ombien de fidèles comporte votre nouvelle église ?<br /> Soixanteseize.<br /> Et »K »…ui se présente contre vous ?<br /> Le frère de Monsieur le Maire et mon fils.<br /> Mon oncle, je ne veux pas vous décourager<br /> Mais dans toute l’histoire de la chrétienté.<br /> Un pape n’a jamais gagné »K »…ontre son fils.<br /> Moi je vais gagner parce que Dieu me l’a révélé.<br /> Ohhh… J’avais maintenant un oncle infaillible dans la famille. Une des lois de<br /> l’intellectuel, s’il veut survivre en société, est d’abaisser son niveau de langage s’il ne veut pas<br /> être rejeté.<br /> Mon oncle, depuis le début de l’humanité<br /> Au niveau mathématique et statistique,<br /> Lorsqu’on divise le vote, »K »…ontre un adversaire<br /> Il passe, et vous perdez automatiquement<br /> Dieu vous a dit cela aussi ?<br /> Oh ! J’avais raté mon »K »…oup. Le plafond de son cerveau s’était arrêté au deuxième<br /> étage de sa »K »…onscience humaine et je marchais sur le plancher du troisième martelant<br /> directement le dessus de sa tête papale si fragile parce »K »…ue non encore couronnée. Ce<br /> »K »…ui fit, à la fois, sortir la fumée par les oreilles et l’orgueil par ses yeux. Je jugeai »K »…u’il<br /> me fallait absolument réparer par une »K »…onsolation d’usage si je ne voulais pas être traitée de<br /> snob.<br /> Au moins, »K »…ontrairement aux papes de la »K »…hrétienté<br /> Vous avez une épouse dont la variable en tant ‘K »…ue présence<br /> Peut faire la différence et provoquer la faillibilité des statistiques.<br /> Elle m’a dit qu’elle voterait pour son garçon.<br /> 412<br /> Je le sentis descendre au plus profond des »K »…aves du Vatican. Et je compris<br /> l’importance de sa mission. Il faisait appel au sang pour ne pas être dévoré par le sien propre. Et<br /> »K »…omme je ne voulais pas m’insérer dans une chicane de famille, je lui promis plutôt de tenter<br /> de »K »…onvaincre son fils de ne pas humilier publiquement son père, qui risquerait bien de le<br /> devenir assez tôt si par malheur il poursuivait dans son inconscience de se faire élire.<br /> Les élections eurent finalement lieu. Mon oncle et son fils perdirent tel que prédit. Le<br /> frère du maire héritant d’un poste plus prestigieux »K »…ue celui de son aîné. Je n’en revins pas<br /> de la puissance de la logique à prévoir l’imprévisible dans la vie… Mais les élections du maire<br /> arrivèrent à leur tour. Son frère pape étant en difficultés financières, le magistrat réussit à<br /> l’acheter pour ne pas »K »…ue les folies spirituelles de l’inconscient lui portent ombrage, juste au<br /> moment où mon cousin dans une »K »…olère imprévue quitta en même temps le groupe, laissant<br /> le champ libre à mon oncle »K »…ui fut finalement élu à l’unanimité. Dieu avait encore une fois<br /> réussi à gagner sur le librearbitre<br /> de l’homme.<br /> »K »…uand mon
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P
intéressant cette nouvelle littéraire sur James Joyce:)))<br /> <br /> Dans le cadre de mon vagabondage poétique<br /> blogs musée pertinents mais aléatoires<br /> pour mon oeuvre conceptuelle<br /> pertinente mais aléatoire...<br /> <br /> permettez-moi<br /> de vous offrir<br /> une de mes chansons<br /> qui parle de la vie<br /> d'un artiste-peintre<br /> et du rapport entre<br /> sa vie privé et son art<br /> <br /> EN MARCHE VERS UNE VIE PRIVEE OEUVRE D'ART<br /> <br /> Ce qui est beau dans la vie privée oeuvre d'art, c'est d'en être le peintre, dans un atelier où on doit à la fois peindre l'infinie joie d'une humanité qui s'élève peu à peu en soi et et donner une<br /> poignée de main à celui ou celle qui reprend sa vie d'artiste du quotidien en main.<br /> <br /> 16 ANS D'AVENTURE<br /> <br /> une ière neige sur le lac<br /> un pic bois qui passe en ami<br /> un chien qui marche sur la galerie<br /> deux hommes qui parlent de la vie<br /> <br /> une peinture sur le mur<br /> l’homme se lève<br /> me rappelle l’essentiel<br /> <br /> sa peinture date de 16 ans<br /> l’homme avait déja 38 ans<br /> était amoureux fou d’une femme<br /> qui tenait dépanneur, corps et âme<br /> <br /> pendant que lui<br /> d’un autobus<br /> était chauffeur de vie<br /> <br /> travaillait pour<br /> Chevrette transport La Tuque<br /> avait hâte a la fin de semaine<br /> tiens ben ta tuque<br /> <br /> rêvait du cap de la madeleine<br /> mais le dépanneur ferme si tard<br /> toute la semaine<br /> <br /> en attendant<br /> monte chez son frêre en haut<br /> avec toiles et pinceaux<br /> <br /> REFRAIN<br /> <br /> sur sa toile<br /> des arbres, des billots et de l’eau<br /> qui dansent l’amour<br /> comme la chute entraîne tout su l’tableau<br /> <br /> quand on contrôle pu rien<br /> c’est qu’y a des matins<br /> où l’amour doux<br /> c’est trop fou<br /> <br /> quand on contrôle pu rien<br /> c’est qu’y a des matins<br /> où l’amour doux<br /> c’est trop fou<br /> <br /> COUPLET 2<br /> <br /> y a pu de neige sur le lac<br /> ou est le pic bois mon ami<br /> le chien est en bas d’la galerie<br /> l’homme est dehors avec un sac de voyage<br /> <br /> sa vieille peinture<br /> reste sur le mur<br /> avec toute sa magie<br /> <br /> un grand amour<br /> c’est tellement fort<br /> que leur ière fille s’appelle Pascale<br /> une ado de 15 ans qui mord<br /> la vie comme à son ier bal<br /> <br /> pendant qu’sa soeur<br /> Justine 9 ans<br /> sourit aux étoiles<br /> <br /> la femme se meurt d’un cancer<br /> l’homme a finit par jeter sa dernière bière<br /> il doit monter à Trois-Rivières<br /> il sera bientôt père et mère<br /> <br /> sa vieille peinture<br /> su l’mur le rassure<br /> sur 16 ans d’aventures<br /> <br /> pierrot<br /> vagabond céleste<br /> <br /> www.enracontantpierrot.blogspot.com<br /> www.reveursequitables.com
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M
Ah je devrais peut-être lui redonner sa chance alors, vu que c'était aussi il y a une dizaine d'années quand j'étais étudiante :-D
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S
<br /> <br /> Je ne pensais pas l'apprécier autant, alors peut-être changeras-tu d'avis aussi. J'y vois des choses que je n'y lisais pas à l'époque.<br /> <br /> <br /> <br />
M
J'avais lu un titre de cette série et je n'avais pas tellement accroché. Pourtant, il y avait tout ce que j'aurais du aimer : une prof d'université qui mène des enquêtes, de la littérature, les<br /> Etats-Unis, ...
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S
<br /> <br /> J'avais lu des romans de cette auteur quand j'étais étudiante, et je n'avais pas accroché non plus. Dix ans plus tard, j'ai presque lu ses romans d'une traite.<br /> <br /> <br /> <br />
S
Hop, deuxième billet ajouté !
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S
<br /> <br /> Merci !<br /> <br /> <br /> Le troisième arrive !<br /> <br /> <br /> <br />

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